Jeanine LESCALIER

Nous tenions à remercier tous ceux qui sont présents aujourd’hui pour rendre un dernier hommage à Madame Lescalier,Jeanine, Maman, Mamie.

Cette Mamie qui nous a accompagnés depuis toujours, mon frère et moi.

Nous l’avons toujours connue en pleine forme, pleine de vie. Elle ne tenait jamais en place : toujours dans le jardin, la maison, ou derrière les fourneaux.

Elle nous a appris mille petites choses, des techniques de grand-mère… comme le beurre salé sur les frites : ça, c’était son ingrédient à elle.
Tu as également laissé un lourd fardeaux à maman… elle doit réussir tes merveilleuses coquille saint jaques ou coquilles de poisson pour certains.

Tu sais, les pulls que tu nous tricotais quand nous étions petits , ceux qui grattouillaient un peu ? On ne te l’a jamais dit, mais on avait la classe avec ça à l’école. Aujourd’hui encore, ils nous manquent, ces pulls.

On se rappellera aussi que, chaque jour, tu râlais devant la télé… et que, le lendemain, tu la rallumais pour râler encore !

Nougat non plus ne t’oublie pas. Il se souviendra toujours de la façon dont tu lui donnais ses croquettes : tu les prenais dans ta main, t’agenouillais par terre, à quatre pattes, juste pour le nourrir. Même pour lui, tu étais une mamie exceptionnelle

Je me rappellerais toujours quand tu m’appelais « mon premier petit fils, le cadeaux de mes 50 ans »

Toutes ces vacances passées chez toi et Papy, quand nous étions enfants, Romain et moi… À chaque fois, on pleurait le départ de nos parents. Aujourd’hui, c’est ton départ à toi que nous pleurons.

Ce départ, si soudain. Nous n’étions pas prêts. Mais peut-on vraiment l’être un jour ?

Personne n’est prêt à voir partir un être qu’il aime.

Mais n’oublie jamais une chose : nous t’aimons tous.

Maintenant, il est temps pour toi de te reposer. Tu en as besoin. Tu t’es battue jusqu’au bout.

Tu mérites de partir en paix, de rejoindre Papy et Jean-Paul. Car je crois qu’il te manque aussi, à toi.

Nous prendrons soin de Tata et de Maman, comme tu me l’as demandé.

Et surtout, nous ne t’oublierons jamais.

On t’aime, Madame Lescalier, Jeanine.
On t’aime, Maman.
On t’aime, Mamie.

Nous tenions à remercier tous ceux qui sont présents aujourd’hui pour rendre un dernier hommage à Madame Lescalier,Jeanine, Maman, Mamie.

Cette Mamie qui nous a accompagnés depuis toujours, mon frère et moi.

Nous l’avons toujours connue en pleine forme, pleine de vie. Elle ne tenait jamais en place : toujours dans le jardin, la maison, ou derrière les fourneaux.

Elle nous a appris mille petites choses, des techniques de grand-mère… comme le beurre salé sur les frites : ça, c’était son ingrédient à elle.
Tu as également laissé un lourd fardeaux à maman… elle doit réussir tes merveilleuses coquille saint jaques ou coquilles de poisson pour certains.

Tu sais, les pulls que tu nous tricotais quand nous étions petits , ceux qui grattouillaient un peu ? On ne te l’a jamais dit, mais on avait la classe avec ça à l’école. Aujourd’hui encore, ils nous manquent, ces pulls.

On se rappellera aussi que, chaque jour, tu râlais devant la télé… et que, le lendemain, tu la rallumais pour râler encore !

Nougat non plus ne t’oublie pas. Il se souviendra toujours de la façon dont tu lui donnais ses croquettes : tu les prenais dans ta main, t’agenouillais par terre, à quatre pattes, juste pour le nourrir. Même pour lui, tu étais une mamie exceptionnelle

Je me rappellerais toujours quand tu m’appelais « mon premier petit fils, le cadeaux de mes 50 ans »

Toutes ces vacances passées chez toi et Papy, quand nous étions enfants, Romain et moi… À chaque fois, on pleurait le départ de nos parents. Aujourd’hui, c’est ton départ à toi que nous pleurons.

Ce départ, si soudain. Nous n’étions pas prêts. Mais peut-on vraiment l’être un jour ?

Personne n’est prêt à voir partir un être qu’il aime.

Mais n’oublie jamais une chose : nous t’aimons tous.

Maintenant, il est temps pour toi de te reposer. Tu en as besoin. Tu t’es battue jusqu’au bout.

Tu mérites de partir en paix, de rejoindre Papy et Jean-Paul. Car je crois qu’il te manque aussi, à toi.

Nous prendrons soin de Tata et de Maman, comme tu me l’as demandé.

Et surtout, nous ne t’oublierons jamais.

On t’aime, Madame Lescalier, Jeanine.
On t’aime, Maman.
On t’aime, Mamie.